Démarches des entreprises

La désignation d’un commissaire aux comptes est-elle obligatoire ?

La désignation d’un commissaire aux comptes (CAC) peut être obligatoire ou facultative. Elle dépend du total du bilan, du chiffre d’affaires hors taxes et du nombre de salariés au cours de l’exercice. Cette page concerne uniquement les sociétés (SARL, EARL, SA, SAS, SCA, SCS, SNC, SCPI, SCI etc) et non les associations et fondations.

La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

  • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

  • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

  • 50 salariés

La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

Attention

Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

Référence : Code de commerce : article L223-35

 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038838163 

    La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

    • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

    • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

    • 50 salariés

    La désignation du CAC est faite par l’associé unique.

    Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

    En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

    À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

    L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

    C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

      La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

      • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

      • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

      • 50 salariés

      La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire sur proposition du conseil d’administration (ou du conseil de surveillance).

      Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

      En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

      À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

      L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

      C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

      Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

      Attention

      Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

      Référence : Code de commerce : article L225-218

       https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042339836 

        La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

        • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

        • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

        • 50 salariés

        La désignation du CAC est faire par une décision collective des associés sur proposition du président (ou d’un autre organe de direction).

        Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

        En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

        À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

        L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

        C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

        Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

        Attention

        Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

        Référence : Code de commerce : article L227-9-1

         https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799598 

          La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

          • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

          • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

          • 50 salariés

          La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

          Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

          En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

          À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

          L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

          C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

          Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

          Attention

          Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

          Référence : Code de commerce : article L226-6

           https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799793 

            La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

            • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

            • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

            • 50 salariés

            La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

            Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

            En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

            À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

            L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

            C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

            Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

            Attention

            Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un seul associé peut demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

            Référence : Code de commerce : article L221-9

             https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799701 

              La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

              • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

              • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

              • 50 salariés

              La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

              Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

              En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

              À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

              L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

              C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

              Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

              Attention

              Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un seul associé peut demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

              Référence : Code de commerce : article L222-2

               https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006222687 

              Référence : Code de commerce : article L221-9

               https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799701 

                La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                • 50 salariés

                La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                  La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                  • 2 500 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                  • 5 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                  • 25 salariés

                  La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                  Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                  En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                  À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                  L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                  C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                    La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des trois seuils suivants sont franchis :

                    • 1 550 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                    • 3 100 000 € de chiffre d’affaires HT

                    • 50 salariés

                    La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire ou par un organe ayant une fonction analogue.

                    Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                    En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                    À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                    L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                    C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                      La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                      • 230 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                      • 153 000 € de chiffre d’affaires

                      • 3 salariés

                      La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                      Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                      En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                      À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                      L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                      C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                        La désignation d’un commissaire aux comptes est-elle obligatoire ?

                        La désignation d’un commissaire aux comptes (CAC) peut être obligatoire ou facultative. Elle dépend du total du bilan, du chiffre d’affaires hors taxes et du nombre de salariés au cours de l’exercice. Cette page concerne uniquement les sociétés (SARL, EARL, SA, SAS, SCA, SCS, SNC, SCPI, SCI etc) et non les associations et fondations.

                        La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                        • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                        • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                        • 50 salariés

                        La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                        Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                        En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                        À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                        L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                        C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                        Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                        Attention

                        Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                        Référence : Code de commerce : article L223-35

                         https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038838163 

                          La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                          • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                          • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                          • 50 salariés

                          La désignation du CAC est faite par l’associé unique.

                          Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                          En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                          À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                          L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                          C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                            La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                            • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                            • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                            • 50 salariés

                            La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire sur proposition du conseil d’administration (ou du conseil de surveillance).

                            Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                            En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                            À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                            L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                            C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                            Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                            Attention

                            Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                            Référence : Code de commerce : article L225-218

                             https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042339836 

                              La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                              • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                              • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                              • 50 salariés

                              La désignation du CAC est faire par une décision collective des associés sur proposition du président (ou d’un autre organe de direction).

                              Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                              En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                              À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                              L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                              C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                              Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                              Attention

                              Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                              Référence : Code de commerce : article L227-9-1

                               https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799598 

                                La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                • 50 salariés

                                La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                Attention

                                Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                Référence : Code de commerce : article L226-6

                                 https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799793 

                                  La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                  • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                  • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                  • 50 salariés

                                  La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                  Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                  En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                  À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                  L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                  C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                  Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                  Attention

                                  Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un seul associé peut demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                  Référence : Code de commerce : article L221-9

                                   https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799701 

                                    La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                    • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                    • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                    • 50 salariés

                                    La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                    Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                    En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                    À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                    L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                    C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                    Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                    Attention

                                    Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un seul associé peut demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                    Référence : Code de commerce : article L222-2

                                     https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006222687 

                                    Référence : Code de commerce : article L221-9

                                     https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799701 

                                      La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                      • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                      • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                      • 50 salariés

                                      La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                      Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                      En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                      À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                      L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                      C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                        La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                        • 2 500 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                        • 5 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                        • 25 salariés

                                        La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                        Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                        En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                        À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                        L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                        C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                          La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des trois seuils suivants sont franchis :

                                          • 1 550 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                          • 3 100 000 € de chiffre d’affaires HT

                                          • 50 salariés

                                          La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire ou par un organe ayant une fonction analogue.

                                          Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                          En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                          À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                          L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                          C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                            La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                            • 230 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                            • 153 000 € de chiffre d’affaires

                                            • 3 salariés

                                            La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                            Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                            En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                            À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                            L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                            C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                              La désignation d’un commissaire aux comptes est-elle obligatoire ?

                                              La désignation d’un commissaire aux comptes (CAC) peut être obligatoire ou facultative. Elle dépend du total du bilan, du chiffre d’affaires hors taxes et du nombre de salariés au cours de l’exercice. Cette page concerne uniquement les sociétés (SARL, EARL, SA, SAS, SCA, SCS, SNC, SCPI, SCI etc) et non les associations et fondations.

                                              La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                              • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                              • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                              • 50 salariés

                                              La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                              Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                              En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                              À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                              L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                              C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                              Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                              Attention

                                              Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                              Référence : Code de commerce : article L223-35

                                               https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038838163 

                                                La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                • 50 salariés

                                                La désignation du CAC est faite par l’associé unique.

                                                Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                  La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                  • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                  • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                  • 50 salariés

                                                  La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire sur proposition du conseil d’administration (ou du conseil de surveillance).

                                                  Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                  En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                  À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                  L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                  C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                  Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                                  Attention

                                                  Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                                  Référence : Code de commerce : article L225-218

                                                   https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042339836 

                                                    La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                    • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                    • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                    • 50 salariés

                                                    La désignation du CAC est faire par une décision collective des associés sur proposition du président (ou d’un autre organe de direction).

                                                    Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                    En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                    À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                    L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                    C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                    Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                                    Attention

                                                    Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                                    Référence : Code de commerce : article L227-9-1

                                                     https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799598 

                                                      La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                      • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                      • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                      • 50 salariés

                                                      La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                                      Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                      En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                      À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                      L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                      C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                      Un CAC peut aussi être désigné volontairement par une décision des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                                      Attention

                                                      Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un ou plusieurs associés représentant au moins 10 % du capital peuvent demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                                      Référence : Code de commerce : article L226-6

                                                       https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799793 

                                                        La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                        • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                        • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                        • 50 salariés

                                                        La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                                        Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                        En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                        À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                        L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                        C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                        Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                                        Attention

                                                        Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un seul associé peut demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                                        Référence : Code de commerce : article L221-9

                                                         https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799701 

                                                          La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                          • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                          • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                          • 50 salariés

                                                          La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                                          Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                          En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                          À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                          L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                          C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                          Un CAC peut aussi être désigné à la demande des associés représentant au moins 1/3 du capital.

                                                          Attention

                                                          Même lorsque les seuils légaux ne sont pas atteints (chiffre d’affaires, total du bilan ou nombre de salariés), un seul associé peut demander au juge la nomination d’un CAC. Le juge est libre d’accepter ou de refuser cette demande.

                                                          Référence : Code de commerce : article L222-2

                                                           https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006222687 

                                                          Référence : Code de commerce : article L221-9

                                                           https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038799701 

                                                            La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                            • 5 000 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                            • 10 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                            • 50 salariés

                                                            La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                                            Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                            En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                            À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                            L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                            C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                              La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                              • 2 500 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                              • 5 000 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                              • 25 salariés

                                                              La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                                              Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                              En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                              À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                              L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                              C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                                La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des trois seuils suivants sont franchis :

                                                                • 1 550 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                                • 3 100 000 € de chiffre d’affaires HT

                                                                • 50 salariés

                                                                La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire ou par un organe ayant une fonction analogue.

                                                                Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                                En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                                À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                                L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                                C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                                  La nomination d’un commissaire aux comptes devient obligatoire dès lors que 2 des 3 seuils suivants sont franchis :

                                                                  • 230 000 € de total bilan (somme de tous les actifs dans un bilan comptable)

                                                                  • 153 000 € de chiffre d’affaires

                                                                  • 3 salariés

                                                                  La désignation du CAC est faite en assemblée générale ordinaire.

                                                                  Les personnes qui doivent établir des comptes consolidés doivent désigner 2 CAC indépendants l’un de l’autre, c’est-à-dire qu’ils ne doivent pas appartenir à la même structure d’exercice professionnel.

                                                                  En cas de franchissement des seuils, il n’est pas obligatoire de nommer un CAC pour contrôler les comptes de l’exercice au cours duquel les seuils sont dépassés. L’obligation entre en vigueur dès l’exercice suivant.

                                                                  À l’inverse, la société n’est pas obligée de nommer un CAC dès lors qu’elle ne remplit plus ces conditions de seuil à la clôture des 2 exercices précédant l’expiration du mandat du commissaire aux comptes.

                                                                  L’absence de désignation obligatoire d’un CAC est passible d’un emprisonnement de 2 ans et d’une amende de 30 000 € .

                                                                  C’est à la fin du mandat du commissaire aux comptes (6 ans renouvelable ou 3 ans en cas de désignation volontaire), que la société est autorisée à ne pas le renouveler. Celui-ci doit rester en fonctions pendant toute la durée de son mandat, même si la société cesse peu de temps après sa nomination de répondre aux conditions d’obligation de désignation d’un CAC.

                                                                    Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial créé par délibération de l’Assemblée de Corse le 23 octobre 1992, l’ADEC est l’outil de la mise en œuvre de la politique économique de la Collectivité de Corse.

                                                                    Présidée par un Conseiller Exécutif désigné par le Président du Conseil Exécutif de Corse, cette agence, dont le Conseil d’Administration est composé d’élus de toutes les sensibilités politiques et de nombreux représentants de la société civile, se veut plus qu’un simple centre d’instruction des dossiers d’aides aux entreprises.

                                                                    https://www.adec.corsica/

                                                                    La Communauté de Communes de l’Alta Rocca exerce la compétence de développement économique et notamment :

                                                                    • L’aménagement, l’entretien et la gestion de zone d’activité industrielle commerciale tertiaire artisanale, ou touristique d’intérêt communautaire;
                                                                    • La réalisation d’étude à caractère économique et touristique ;
                                                                    • Coopération avec l’ensemble des partenaires compétents visant à conforter le tissu économique ;

                                                                      https://www.alta-rocca.com