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Oui, dans quelques rares situations, il est possible de faire opposition contre les décisions du Conseil d’État.
Mais l’opposition n’est pas possible contre les décisions des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel.
L’opposition est une procédure qui permet de demander qu’une affaire qui a déjà fait l’objet d’une décision soit rejugée.
Vous pouvez faire opposition lorsque le juge a pris la décision par défaut , c’est-à-dire en votre absence, et dans les cas suivants :
Vous étiez absent lors de l’audience (pour un motif valable) et n’avez pas pu faire d’observations ou vous défendre
Aucune autre personne ayant le même intérêt que vous dans l’affaire n’a pu faire part de vos observations lors de l’audience
En cas de procédure écrite sans obligation de comparaître à l’audience, vous n’avez pas indiqué précisément dans votre requête ce que vous demandez au juge.
La procédure d’opposition n’empêche pas l’exécution de la décision. On dit que la procédure n’est pas suspensive .
Toutefois, vous pouvez demander au juge de suspendre l’exécution de la décision. On parle alors de sursis à exécution.
Le délai pour faire opposition est de 2 mois à partir de la notification de la décision de justice contestée.
La démarche à suivre est identique à celle de l’appel devant le Conseil d’État.
Explications spécifiques à Solenzara
Oui, dans quelques rares situations, il est possible de faire opposition contre les décisions du Conseil d’État.
Mais l’opposition n’est pas possible contre les décisions des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel.
L’opposition est une procédure qui permet de demander qu’une affaire qui a déjà fait l’objet d’une décision soit rejugée.
Vous pouvez faire opposition lorsque le juge a pris la décision par défaut , c’est-à-dire en votre absence, et dans les cas suivants :
Vous étiez absent lors de l’audience (pour un motif valable) et n’avez pas pu faire d’observations ou vous défendre
Aucune autre personne ayant le même intérêt que vous dans l’affaire n’a pu faire part de vos observations lors de l’audience
En cas de procédure écrite sans obligation de comparaître à l’audience, vous n’avez pas indiqué précisément dans votre requête ce que vous demandez au juge.
La procédure d’opposition n’empêche pas l’exécution de la décision. On dit que la procédure n’est pas suspensive .
Toutefois, vous pouvez demander au juge de suspendre l’exécution de la décision. On parle alors de sursis à exécution.
Le délai pour faire opposition est de 2 mois à partir de la notification de la décision de justice contestée.
La démarche à suivre est identique à celle de l’appel devant le Conseil d’État.
Déclaration préalable (construction, travaux, installations et aménagements non soumis à permis de construire)
Oui, dans quelques rares situations, il est possible de faire opposition contre les décisions du Conseil d’État.
Mais l’opposition n’est pas possible contre les décisions des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel.
L’opposition est une procédure qui permet de demander qu’une affaire qui a déjà fait l’objet d’une décision soit rejugée.
Vous pouvez faire opposition lorsque le juge a pris la décision par défaut , c’est-à-dire en votre absence, et dans les cas suivants :
Vous étiez absent lors de l’audience (pour un motif valable) et n’avez pas pu faire d’observations ou vous défendre
Aucune autre personne ayant le même intérêt que vous dans l’affaire n’a pu faire part de vos observations lors de l’audience
En cas de procédure écrite sans obligation de comparaître à l’audience, vous n’avez pas indiqué précisément dans votre requête ce que vous demandez au juge.
La procédure d’opposition n’empêche pas l’exécution de la décision. On dit que la procédure n’est pas suspensive .
Toutefois, vous pouvez demander au juge de suspendre l’exécution de la décision. On parle alors de sursis à exécution.
Le délai pour faire opposition est de 2 mois à partir de la notification de la décision de justice contestée.
La démarche à suivre est identique à celle de l’appel devant le Conseil d’État.
Oui, dans quelques rares situations, il est possible de faire opposition contre les décisions du Conseil d’État.
Mais l’opposition n’est pas possible contre les décisions des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel.
L’opposition est une procédure qui permet de demander qu’une affaire qui a déjà fait l’objet d’une décision soit rejugée.
Vous pouvez faire opposition lorsque le juge a pris la décision par défaut , c’est-à-dire en votre absence, et dans les cas suivants :
Vous étiez absent lors de l’audience (pour un motif valable) et n’avez pas pu faire d’observations ou vous défendre
Aucune autre personne ayant le même intérêt que vous dans l’affaire n’a pu faire part de vos observations lors de l’audience
En cas de procédure écrite sans obligation de comparaître à l’audience, vous n’avez pas indiqué précisément dans votre requête ce que vous demandez au juge.
La procédure d’opposition n’empêche pas l’exécution de la décision. On dit que la procédure n’est pas suspensive .
Toutefois, vous pouvez demander au juge de suspendre l’exécution de la décision. On parle alors de sursis à exécution.
Le délai pour faire opposition est de 2 mois à partir de la notification de la décision de justice contestée.
La démarche à suivre est identique à celle de l’appel devant le Conseil d’État.
EN LIGNE
Toute personne peut consulter gratuitement les plans cadastraux en ligne sur le site mis en place par le ministère de l’économie et des finances https://www.cadastre.gouv.fr.
il suffit ensuite de sélectionner le département, la commune, l’adresse ou la référence cadastrale.
Il est également possible de se faire délivrer des documents sous forme numérique ou par courrier contre le paiement d’une redevance. Cette action nécessite l’ouverture d’un compte avec un identifiant et un mot de passe.
GEOPORTAIL
Le Géoportail, portail national de la connaissance du territoire mis en œuvre par l’IGN, a pour vocation de faciliter l’accès à l’information géographique de référence. Construit dans une logique d’ouverture et d’interopérabilité des données, il s’est régulièrement enrichi de nouvelles données publiques. https://www.geoportail.gouv.fr/