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Oui, le juge aux affaires familiales (Jaf) peut accorder un droit de visite au parent qui n’exerce pas l’autorité parentale, si c’est dans l’intérêt de l’enfant. Ce droit de visite est refusé ou retiré uniquement pour des motifs graves (par exemple, mise en danger de la vie de l’enfant, violences). Nous vous présentons les informations à connaître.
Le plus souvent, un parent n’exerce pas l’autorité parentale parce qu’une décision du juge accorde l’exercice exclusif de l’autorité parentale à l’autre parent.
Le parent qui fait une reconnaissance tardive de son enfant (après l’âge de 1 an) est lui aussi privé d’exercice de l’autorité parentale.
Il arrive enfin qu’aucun parent n’exerce l’autorité parentale en raison d’une délégation d’autorité parentale à un tiers.
Dans toutes ces situations, le parent qui n’exerce pas l’autorité parentale conserve les autres droits et devoirs attachés à l’autorité parentale. Il a le droit et le devoir de surveiller l’entretien et l’éducation de l’enfant et il peut demander au Jaf de lui accorder un droit de visite et d’hébergement.
Le Jaf prend sa décision en tenant compte de l’intérêt de l’enfant. Il accorde le droit de visite conformément au besoin de l’enfant d’avoir des liens effectifs et continus avec ses parents.
Le Jaf peut refuser le droit de visite pour le bien-être et la sécurité de l’enfant. Le refus n’intervient que pour des motifs graves (désintérêt envers l’enfant, violences, mise en danger de l’enfant…).
Le Jaf fixe les modalités d’exercice du droit de visite en tenant compte de l’intérêt de l’enfant.
Il peut décider que le droit de visite s’exercera dans un lieu neutre extérieur au domicile des parents (par exemple, dans un parc).
Le Jaf peut aussi décider que les visites se dérouleront dans un espace de rencontre désigné à cet effet. On parle alors de droit de visite médiatisé . Ce type de droit de visite est mis en place, par exemple, lorsqu’un parent est placé dans un établissement médical ou qu’il n’a pas de domicile fixe ou qu’il est en prison.
Explications spécifiques à Solenzara
Oui, le juge aux affaires familiales (Jaf) peut accorder un droit de visite au parent qui n’exerce pas l’autorité parentale, si c’est dans l’intérêt de l’enfant. Ce droit de visite est refusé ou retiré uniquement pour des motifs graves (par exemple, mise en danger de la vie de l’enfant, violences). Nous vous présentons les informations à connaître.
Le plus souvent, un parent n’exerce pas l’autorité parentale parce qu’une décision du juge accorde l’exercice exclusif de l’autorité parentale à l’autre parent.
Le parent qui fait une reconnaissance tardive de son enfant (après l’âge de 1 an) est lui aussi privé d’exercice de l’autorité parentale.
Il arrive enfin qu’aucun parent n’exerce l’autorité parentale en raison d’une délégation d’autorité parentale à un tiers.
Dans toutes ces situations, le parent qui n’exerce pas l’autorité parentale conserve les autres droits et devoirs attachés à l’autorité parentale. Il a le droit et le devoir de surveiller l’entretien et l’éducation de l’enfant et il peut demander au Jaf de lui accorder un droit de visite et d’hébergement.
Le Jaf prend sa décision en tenant compte de l’intérêt de l’enfant. Il accorde le droit de visite conformément au besoin de l’enfant d’avoir des liens effectifs et continus avec ses parents.
Le Jaf peut refuser le droit de visite pour le bien-être et la sécurité de l’enfant. Le refus n’intervient que pour des motifs graves (désintérêt envers l’enfant, violences, mise en danger de l’enfant…).
Le Jaf fixe les modalités d’exercice du droit de visite en tenant compte de l’intérêt de l’enfant.
Il peut décider que le droit de visite s’exercera dans un lieu neutre extérieur au domicile des parents (par exemple, dans un parc).
Le Jaf peut aussi décider que les visites se dérouleront dans un espace de rencontre désigné à cet effet. On parle alors de droit de visite médiatisé . Ce type de droit de visite est mis en place, par exemple, lorsqu’un parent est placé dans un établissement médical ou qu’il n’a pas de domicile fixe ou qu’il est en prison.
Déclaration préalable (construction, travaux, installations et aménagements non soumis à permis de construire)
Oui, le juge aux affaires familiales (Jaf) peut accorder un droit de visite au parent qui n’exerce pas l’autorité parentale, si c’est dans l’intérêt de l’enfant. Ce droit de visite est refusé ou retiré uniquement pour des motifs graves (par exemple, mise en danger de la vie de l’enfant, violences). Nous vous présentons les informations à connaître.
Le plus souvent, un parent n’exerce pas l’autorité parentale parce qu’une décision du juge accorde l’exercice exclusif de l’autorité parentale à l’autre parent.
Le parent qui fait une reconnaissance tardive de son enfant (après l’âge de 1 an) est lui aussi privé d’exercice de l’autorité parentale.
Il arrive enfin qu’aucun parent n’exerce l’autorité parentale en raison d’une délégation d’autorité parentale à un tiers.
Dans toutes ces situations, le parent qui n’exerce pas l’autorité parentale conserve les autres droits et devoirs attachés à l’autorité parentale. Il a le droit et le devoir de surveiller l’entretien et l’éducation de l’enfant et il peut demander au Jaf de lui accorder un droit de visite et d’hébergement.
Le Jaf prend sa décision en tenant compte de l’intérêt de l’enfant. Il accorde le droit de visite conformément au besoin de l’enfant d’avoir des liens effectifs et continus avec ses parents.
Le Jaf peut refuser le droit de visite pour le bien-être et la sécurité de l’enfant. Le refus n’intervient que pour des motifs graves (désintérêt envers l’enfant, violences, mise en danger de l’enfant…).
Le Jaf fixe les modalités d’exercice du droit de visite en tenant compte de l’intérêt de l’enfant.
Il peut décider que le droit de visite s’exercera dans un lieu neutre extérieur au domicile des parents (par exemple, dans un parc).
Le Jaf peut aussi décider que les visites se dérouleront dans un espace de rencontre désigné à cet effet. On parle alors de droit de visite médiatisé . Ce type de droit de visite est mis en place, par exemple, lorsqu’un parent est placé dans un établissement médical ou qu’il n’a pas de domicile fixe ou qu’il est en prison.
Oui, le juge aux affaires familiales (Jaf) peut accorder un droit de visite au parent qui n’exerce pas l’autorité parentale, si c’est dans l’intérêt de l’enfant. Ce droit de visite est refusé ou retiré uniquement pour des motifs graves (par exemple, mise en danger de la vie de l’enfant, violences). Nous vous présentons les informations à connaître.
Le plus souvent, un parent n’exerce pas l’autorité parentale parce qu’une décision du juge accorde l’exercice exclusif de l’autorité parentale à l’autre parent.
Le parent qui fait une reconnaissance tardive de son enfant (après l’âge de 1 an) est lui aussi privé d’exercice de l’autorité parentale.
Il arrive enfin qu’aucun parent n’exerce l’autorité parentale en raison d’une délégation d’autorité parentale à un tiers.
Dans toutes ces situations, le parent qui n’exerce pas l’autorité parentale conserve les autres droits et devoirs attachés à l’autorité parentale. Il a le droit et le devoir de surveiller l’entretien et l’éducation de l’enfant et il peut demander au Jaf de lui accorder un droit de visite et d’hébergement.
Le Jaf prend sa décision en tenant compte de l’intérêt de l’enfant. Il accorde le droit de visite conformément au besoin de l’enfant d’avoir des liens effectifs et continus avec ses parents.
Le Jaf peut refuser le droit de visite pour le bien-être et la sécurité de l’enfant. Le refus n’intervient que pour des motifs graves (désintérêt envers l’enfant, violences, mise en danger de l’enfant…).
Le Jaf fixe les modalités d’exercice du droit de visite en tenant compte de l’intérêt de l’enfant.
Il peut décider que le droit de visite s’exercera dans un lieu neutre extérieur au domicile des parents (par exemple, dans un parc).
Le Jaf peut aussi décider que les visites se dérouleront dans un espace de rencontre désigné à cet effet. On parle alors de droit de visite médiatisé . Ce type de droit de visite est mis en place, par exemple, lorsqu’un parent est placé dans un établissement médical ou qu’il n’a pas de domicile fixe ou qu’il est en prison.
EN LIGNE
Toute personne peut consulter gratuitement les plans cadastraux en ligne sur le site mis en place par le ministère de l’économie et des finances https://www.cadastre.gouv.fr.
il suffit ensuite de sélectionner le département, la commune, l’adresse ou la référence cadastrale.
Il est également possible de se faire délivrer des documents sous forme numérique ou par courrier contre le paiement d’une redevance. Cette action nécessite l’ouverture d’un compte avec un identifiant et un mot de passe.
GEOPORTAIL
Le Géoportail, portail national de la connaissance du territoire mis en œuvre par l’IGN, a pour vocation de faciliter l’accès à l’information géographique de référence. Construit dans une logique d’ouverture et d’interopérabilité des données, il s’est régulièrement enrichi de nouvelles données publiques. https://www.geoportail.gouv.fr/