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Demande de certificat d’urbanisme

Rupture du contrat de travail pour cas de force majeure

En cas de force majeure, le contrat de travail du salarié peut être rompu sans avoir à suivre une procédure particulière. Le salarié peut percevoir des indemnités sous certaines conditions. Nous faisons un point sur la réglementation.

    La force majeure est un événement qui remplit l’ensemble des 3 caractéristiques suivantes :

    • Ne peut pas être prévu (imprévisible)

    • Ne peut pas être surmonté (irrésistible)

    • Fait extérieur échappant au contrôle de la personne concernée.

    La poursuite du contrat de travail en raison de cet événement est rendue impossible. Par exemple, la destruction totale de l’entreprise à la suite d’un incendie sans possibilité de reprise de l’activité.

    La rupture du contrat de travail pour cas de force majeure est un mode spécifique de rupture du contrat de travail. Ce n’est pas un licenciement.

    L’employeur informe le salarié par écrit de la rupture. Le contrat de travail est rompu immédiatement.

    L’employeur remet au salarié les documents de fin de contrat qui lui sont dus.

    À savoir

    Si le salarié estime que les conditions d’une rupture du contrat pour cas de force majeure ne sont pas réunies, il peut saisir le conseil de prud’hommes.

    Les indemnités que peut percevoir un salarié diffèrent selon la nature du contrat de travail.

    Elles diffèrent également si la rupture est du fait d’un sinistre ou non.

    Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal au celui de l’indemnité de licenciement et de l’indemnité compensatrice de préavis auquel le salarié aurait pu prétendre.

    Il perçoit aussi l’indemnité compensatrice de congés payés.

      Le salarié perçoit uniquement l’indemnité compensatrice de congés payés.

      Il ne perçoit pas d’indemnité de licenciement et d’indemnité compensatrice de préavis.

          Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal aux rémunérations que le salarié aurait dû percevoir jusqu’au terme du contrat.

          Il perçoit aussi l’indemnité compensatrice de congés payés.

          L’indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n’est pas versée.

            Le salarié perçoit uniquement l’indemnité compensatrice de congés payés.

            L’indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                Le salarié perçoit l’indemnité compensatrice de congés payés.

                L’indemnité de fin de mission (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                À noter

                La rupture du contrat de mise à disposition, c’est-à-dire du contrat conclu entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise utilisatrice, n’est pas un cas de force majeure.

                Explications spécifiques à Solenzara

                Demande de permis de construire pour une maison individuelle et/ou ses annexes (PCMI)

                Demande de permis de construire (autre que portant sur une maison individuelle ou ses annexes)

                Rupture du contrat de travail pour cas de force majeure

                En cas de force majeure, le contrat de travail du salarié peut être rompu sans avoir à suivre une procédure particulière. Le salarié peut percevoir des indemnités sous certaines conditions. Nous faisons un point sur la réglementation.

                  La force majeure est un événement qui remplit l’ensemble des 3 caractéristiques suivantes :

                  • Ne peut pas être prévu (imprévisible)

                  • Ne peut pas être surmonté (irrésistible)

                  • Fait extérieur échappant au contrôle de la personne concernée.

                  La poursuite du contrat de travail en raison de cet événement est rendue impossible. Par exemple, la destruction totale de l’entreprise à la suite d’un incendie sans possibilité de reprise de l’activité.

                  La rupture du contrat de travail pour cas de force majeure est un mode spécifique de rupture du contrat de travail. Ce n’est pas un licenciement.

                  L’employeur informe le salarié par écrit de la rupture. Le contrat de travail est rompu immédiatement.

                  L’employeur remet au salarié les documents de fin de contrat qui lui sont dus.

                  À savoir

                  Si le salarié estime que les conditions d’une rupture du contrat pour cas de force majeure ne sont pas réunies, il peut saisir le conseil de prud’hommes.

                  Les indemnités que peut percevoir un salarié diffèrent selon la nature du contrat de travail.

                  Elles diffèrent également si la rupture est du fait d’un sinistre ou non.

                  Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal au celui de l’indemnité de licenciement et de l’indemnité compensatrice de préavis auquel le salarié aurait pu prétendre.

                  Il perçoit aussi l’indemnité compensatrice de congés payés.

                    Le salarié perçoit uniquement l’indemnité compensatrice de congés payés.

                    Il ne perçoit pas d’indemnité de licenciement et d’indemnité compensatrice de préavis.

                        Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal aux rémunérations que le salarié aurait dû percevoir jusqu’au terme du contrat.

                        Il perçoit aussi l’indemnité compensatrice de congés payés.

                        L’indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                          Le salarié perçoit uniquement l’indemnité compensatrice de congés payés.

                          L’indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                              Le salarié perçoit l’indemnité compensatrice de congés payés.

                              L’indemnité de fin de mission (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                              À noter

                              La rupture du contrat de mise à disposition, c’est-à-dire du contrat conclu entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise utilisatrice, n’est pas un cas de force majeure.

                              Déclaration préalable pour une maison individuelle et/ou ses annexes – DPMI

                              Déclaration préalable (construction, travaux, installations et aménagements non soumis à permis de construire)

                              Déclaration préalable (lotissements et autres divisions foncières non soumis à permis d’aménager)

                              Déclaration attestant l’achèvement et la conformité des travaux

                              Rupture du contrat de travail pour cas de force majeure

                              En cas de force majeure, le contrat de travail du salarié peut être rompu sans avoir à suivre une procédure particulière. Le salarié peut percevoir des indemnités sous certaines conditions. Nous faisons un point sur la réglementation.

                                La force majeure est un événement qui remplit l’ensemble des 3 caractéristiques suivantes :

                                • Ne peut pas être prévu (imprévisible)

                                • Ne peut pas être surmonté (irrésistible)

                                • Fait extérieur échappant au contrôle de la personne concernée.

                                La poursuite du contrat de travail en raison de cet événement est rendue impossible. Par exemple, la destruction totale de l’entreprise à la suite d’un incendie sans possibilité de reprise de l’activité.

                                La rupture du contrat de travail pour cas de force majeure est un mode spécifique de rupture du contrat de travail. Ce n’est pas un licenciement.

                                L’employeur informe le salarié par écrit de la rupture. Le contrat de travail est rompu immédiatement.

                                L’employeur remet au salarié les documents de fin de contrat qui lui sont dus.

                                À savoir

                                Si le salarié estime que les conditions d’une rupture du contrat pour cas de force majeure ne sont pas réunies, il peut saisir le conseil de prud’hommes.

                                Les indemnités que peut percevoir un salarié diffèrent selon la nature du contrat de travail.

                                Elles diffèrent également si la rupture est du fait d’un sinistre ou non.

                                Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal au celui de l’indemnité de licenciement et de l’indemnité compensatrice de préavis auquel le salarié aurait pu prétendre.

                                Il perçoit aussi l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                  Le salarié perçoit uniquement l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                  Il ne perçoit pas d’indemnité de licenciement et d’indemnité compensatrice de préavis.

                                      Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal aux rémunérations que le salarié aurait dû percevoir jusqu’au terme du contrat.

                                      Il perçoit aussi l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                      L’indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                                        Le salarié perçoit uniquement l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                        L’indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                                            Le salarié perçoit l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                            L’indemnité de fin de mission (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                                            À noter

                                            La rupture du contrat de mise à disposition, c’est-à-dire du contrat conclu entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise utilisatrice, n’est pas un cas de force majeure.

                                            Demande de permis d’aménager

                                            Rupture du contrat de travail pour cas de force majeure

                                            En cas de force majeure, le contrat de travail du salarié peut être rompu sans avoir à suivre une procédure particulière. Le salarié peut percevoir des indemnités sous certaines conditions. Nous faisons un point sur la réglementation.

                                              La force majeure est un événement qui remplit l’ensemble des 3 caractéristiques suivantes :

                                              • Ne peut pas être prévu (imprévisible)

                                              • Ne peut pas être surmonté (irrésistible)

                                              • Fait extérieur échappant au contrôle de la personne concernée.

                                              La poursuite du contrat de travail en raison de cet événement est rendue impossible. Par exemple, la destruction totale de l’entreprise à la suite d’un incendie sans possibilité de reprise de l’activité.

                                              La rupture du contrat de travail pour cas de force majeure est un mode spécifique de rupture du contrat de travail. Ce n’est pas un licenciement.

                                              L’employeur informe le salarié par écrit de la rupture. Le contrat de travail est rompu immédiatement.

                                              L’employeur remet au salarié les documents de fin de contrat qui lui sont dus.

                                              À savoir

                                              Si le salarié estime que les conditions d’une rupture du contrat pour cas de force majeure ne sont pas réunies, il peut saisir le conseil de prud’hommes.

                                              Les indemnités que peut percevoir un salarié diffèrent selon la nature du contrat de travail.

                                              Elles diffèrent également si la rupture est du fait d’un sinistre ou non.

                                              Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal au celui de l’indemnité de licenciement et de l’indemnité compensatrice de préavis auquel le salarié aurait pu prétendre.

                                              Il perçoit aussi l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                                Le salarié perçoit uniquement l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                                Il ne perçoit pas d’indemnité de licenciement et d’indemnité compensatrice de préavis.

                                                    Le salarié perçoit une indemnité compensatrice. Son montant est égal aux rémunérations que le salarié aurait dû percevoir jusqu’au terme du contrat.

                                                    Il perçoit aussi l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                                    L’indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                                                      Le salarié perçoit uniquement l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                                      L’indemnité de fin de contrat (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                                                          Le salarié perçoit l’indemnité compensatrice de congés payés.

                                                          L’indemnité de fin de mission (ou prime de précarité) n’est pas versée.

                                                          À noter

                                                          La rupture du contrat de mise à disposition, c’est-à-dire du contrat conclu entre l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise utilisatrice, n’est pas un cas de force majeure.

                                                          EN LIGNE

                                                          Toute personne peut consulter gratuitement les plans cadastraux en ligne sur le site mis en place par le ministère de l’économie et des finances https://www.cadastre.gouv.fr.
                                                          il suffit ensuite de sélectionner le département, la commune, l’adresse ou la référence cadastrale.
                                                          Il est également possible de se faire délivrer des documents sous forme numérique ou par courrier contre le paiement d’une redevance. Cette action nécessite l’ouverture d’un compte avec un identifiant et un mot de passe.

                                                          GEOPORTAIL

                                                          Le Géoportail, portail national de la connaissance du territoire mis en œuvre par l’IGN, a pour vocation de faciliter l’accès à l’information géographique de référence. Construit dans une logique d’ouverture et d’interopérabilité des données, il s’est régulièrement enrichi de nouvelles données publiques. https://www.geoportail.gouv.fr/