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Demande de certificat d’urbanisme

Qu’est-ce que la prime de partage de la valeur (PPV) anciennement appelée “prime Macron” ?

Partage de la valeur : obligation de négocier au 1er janvier 2025 – 30 décembre 2024

À compter du 1er janvier 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés devront choisir un dispositif de partage de la valeur parmi les trois suivants :

  • Mise en place d’un plan de participation ou d’intéressement

  • Versement d’une prime de partage de la valeur (PPV)

  • Abondement à un plan d’épargne salariale (PEE, PEI, Perco ou Pereco).

Cette page est en cours de mise à jour.

La prime de partage de la valeur (PPV), anciennement appelée prime Macron ou prime de pouvoir d’achat , est un dispositif qui permet à l’employeur de verser au salarié une prime. Il s’agit d’un dispositif pérenne que les entreprises peuvent mettre en place chaque année. La prime reste facultative. Son versement dépend d’une décision prise par l’employeur ou d’un accord d’entreprise. Les conditions d’obtention et d’exonération fiscale de cette prime varient selon la date de son versement.

    Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou agents sont :

    • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

    • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

    • Établissements et services d’aide par le travail (Ésat)

    La prime peut être versée aux :

    • Salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

    • Agents publics relevant d’un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

    • Intérimaires

    • Travailleurs handicapés liés à un Ésat

    La prime est versée selon les conditions suivantes :

    • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l’entreprise.

    • Si la prime n’est versée qu’à une partie des salariés de l’entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l’employeur ou un accord d’entreprise en seront exclus.

    • La prime doit être versée entre le 1er juillet 2022 et 31 décembre 2023. Elle peut faire l’objet d’une avance, mais le solde doit être payé au plus tard à cette date.

    • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d’un versement par trimestre.

    L’employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

    Le montant de la prime est fixé par l’employeur.

    Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

    Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l’ancienneté dans l’entreprise, de la durée de présence effective pendant l’année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

    Les conditions d’exonération dépendent du montant de la rémunération du salarié au cours des 12 mois précédant le versement de la prime :

    La prime est exonérée de l’impôt sur le revenu, des cotisations salariales et des contributions sociales y compris de la  CSG  et de la  CRDS , dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

    La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

    Exemple

    si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

      La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

      La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

      Exemple

      si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

      À noter

      la prime n’est pas exonérée d’impôt sur le revenu, de la  CSG  et de la  CRDS .

        Attention

        en cas de cumul de la prime de partage de la valeur avec la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (PEPA) qui a pu être versée jusqu’au 31 mars 2022, le montant total exonéré d’impôt sur le revenu au titre des revenus de l’année 2022 ne peut pas excéder 6 000 € .

        Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou leurs agents sont :

        • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

        • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

        • Établissements et services d’aide par le travail (Ésat)

        La prime peut être versée aux :

        • Salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

        • Agents publics relevant d’un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

        • Intérimaires

        • Travailleurs handicapés liés à un Ésat

        La prime est versée selon les conditions suivantes :

        • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l’entreprise.

        • Si la prime n’est versée qu’à une partie des salariés de l’entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l’employeur ou un accord d’entreprise en seront exclus.

        • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d’un versement par trimestre.

        L’employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

        Le montant de la prime est fixé par l’employeur.

        Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

        Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l’ancienneté dans l’entreprise, de la durée de présence effective pendant l’année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

        La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € .

        La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

        À noter

        la prime n’est pas exonérée de l’impôt sur le revenu, de la  CSG  et de la  CRDS .

        Explications spécifiques à Solenzara

        Demande de permis de construire pour une maison individuelle et/ou ses annexes (PCMI)

        Demande de permis de construire (autre que portant sur une maison individuelle ou ses annexes)

        Qu’est-ce que la prime de partage de la valeur (PPV) anciennement appelée “prime Macron” ?

        Partage de la valeur : obligation de négocier au 1er janvier 2025 – 30 décembre 2024

        À compter du 1er janvier 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés devront choisir un dispositif de partage de la valeur parmi les trois suivants :

        • Mise en place d’un plan de participation ou d’intéressement

        • Versement d’une prime de partage de la valeur (PPV)

        • Abondement à un plan d’épargne salariale (PEE, PEI, Perco ou Pereco).

        Cette page est en cours de mise à jour.

        La prime de partage de la valeur (PPV), anciennement appelée prime Macron ou prime de pouvoir d’achat , est un dispositif qui permet à l’employeur de verser au salarié une prime. Il s’agit d’un dispositif pérenne que les entreprises peuvent mettre en place chaque année. La prime reste facultative. Son versement dépend d’une décision prise par l’employeur ou d’un accord d’entreprise. Les conditions d’obtention et d’exonération fiscale de cette prime varient selon la date de son versement.

          Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou agents sont :

          • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

          • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

          • Établissements et services d’aide par le travail (Ésat)

          La prime peut être versée aux :

          • Salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

          • Agents publics relevant d’un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

          • Intérimaires

          • Travailleurs handicapés liés à un Ésat

          La prime est versée selon les conditions suivantes :

          • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l’entreprise.

          • Si la prime n’est versée qu’à une partie des salariés de l’entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l’employeur ou un accord d’entreprise en seront exclus.

          • La prime doit être versée entre le 1er juillet 2022 et 31 décembre 2023. Elle peut faire l’objet d’une avance, mais le solde doit être payé au plus tard à cette date.

          • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d’un versement par trimestre.

          L’employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

          Le montant de la prime est fixé par l’employeur.

          Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

          Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l’ancienneté dans l’entreprise, de la durée de présence effective pendant l’année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

          Les conditions d’exonération dépendent du montant de la rémunération du salarié au cours des 12 mois précédant le versement de la prime :

          La prime est exonérée de l’impôt sur le revenu, des cotisations salariales et des contributions sociales y compris de la  CSG  et de la  CRDS , dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

          La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

          Exemple

          si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

            La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

            La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

            Exemple

            si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

            À noter

            la prime n’est pas exonérée d’impôt sur le revenu, de la  CSG  et de la  CRDS .

              Attention

              en cas de cumul de la prime de partage de la valeur avec la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (PEPA) qui a pu être versée jusqu’au 31 mars 2022, le montant total exonéré d’impôt sur le revenu au titre des revenus de l’année 2022 ne peut pas excéder 6 000 € .

              Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou leurs agents sont :

              • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

              • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

              • Établissements et services d’aide par le travail (Ésat)

              La prime peut être versée aux :

              • Salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

              • Agents publics relevant d’un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

              • Intérimaires

              • Travailleurs handicapés liés à un Ésat

              La prime est versée selon les conditions suivantes :

              • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l’entreprise.

              • Si la prime n’est versée qu’à une partie des salariés de l’entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l’employeur ou un accord d’entreprise en seront exclus.

              • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d’un versement par trimestre.

              L’employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

              Le montant de la prime est fixé par l’employeur.

              Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

              Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l’ancienneté dans l’entreprise, de la durée de présence effective pendant l’année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

              La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € .

              La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

              À noter

              la prime n’est pas exonérée de l’impôt sur le revenu, de la  CSG  et de la  CRDS .

              Déclaration préalable pour une maison individuelle et/ou ses annexes – DPMI

              Déclaration préalable (construction, travaux, installations et aménagements non soumis à permis de construire)

              Déclaration préalable (lotissements et autres divisions foncières non soumis à permis d’aménager)

              Déclaration attestant l’achèvement et la conformité des travaux

              Qu’est-ce que la prime de partage de la valeur (PPV) anciennement appelée “prime Macron” ?

              Partage de la valeur : obligation de négocier au 1er janvier 2025 – 30 décembre 2024

              À compter du 1er janvier 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés devront choisir un dispositif de partage de la valeur parmi les trois suivants :

              • Mise en place d’un plan de participation ou d’intéressement

              • Versement d’une prime de partage de la valeur (PPV)

              • Abondement à un plan d’épargne salariale (PEE, PEI, Perco ou Pereco).

              Cette page est en cours de mise à jour.

              La prime de partage de la valeur (PPV), anciennement appelée prime Macron ou prime de pouvoir d’achat , est un dispositif qui permet à l’employeur de verser au salarié une prime. Il s’agit d’un dispositif pérenne que les entreprises peuvent mettre en place chaque année. La prime reste facultative. Son versement dépend d’une décision prise par l’employeur ou d’un accord d’entreprise. Les conditions d’obtention et d’exonération fiscale de cette prime varient selon la date de son versement.

                Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou agents sont :

                • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

                • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

                • Établissements et services d’aide par le travail (Ésat)

                La prime peut être versée aux :

                • Salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

                • Agents publics relevant d’un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

                • Intérimaires

                • Travailleurs handicapés liés à un Ésat

                La prime est versée selon les conditions suivantes :

                • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l’entreprise.

                • Si la prime n’est versée qu’à une partie des salariés de l’entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l’employeur ou un accord d’entreprise en seront exclus.

                • La prime doit être versée entre le 1er juillet 2022 et 31 décembre 2023. Elle peut faire l’objet d’une avance, mais le solde doit être payé au plus tard à cette date.

                • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d’un versement par trimestre.

                L’employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

                Le montant de la prime est fixé par l’employeur.

                Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

                Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l’ancienneté dans l’entreprise, de la durée de présence effective pendant l’année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

                Les conditions d’exonération dépendent du montant de la rémunération du salarié au cours des 12 mois précédant le versement de la prime :

                La prime est exonérée de l’impôt sur le revenu, des cotisations salariales et des contributions sociales y compris de la  CSG  et de la  CRDS , dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

                La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

                Exemple

                si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

                  La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

                  La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

                  Exemple

                  si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

                  À noter

                  la prime n’est pas exonérée d’impôt sur le revenu, de la  CSG  et de la  CRDS .

                    Attention

                    en cas de cumul de la prime de partage de la valeur avec la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (PEPA) qui a pu être versée jusqu’au 31 mars 2022, le montant total exonéré d’impôt sur le revenu au titre des revenus de l’année 2022 ne peut pas excéder 6 000 € .

                    Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou leurs agents sont :

                    • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

                    • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

                    • Établissements et services d’aide par le travail (Ésat)

                    La prime peut être versée aux :

                    • Salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

                    • Agents publics relevant d’un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

                    • Intérimaires

                    • Travailleurs handicapés liés à un Ésat

                    La prime est versée selon les conditions suivantes :

                    • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l’entreprise.

                    • Si la prime n’est versée qu’à une partie des salariés de l’entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l’employeur ou un accord d’entreprise en seront exclus.

                    • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d’un versement par trimestre.

                    L’employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

                    Le montant de la prime est fixé par l’employeur.

                    Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

                    Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l’ancienneté dans l’entreprise, de la durée de présence effective pendant l’année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

                    La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € .

                    La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

                    À noter

                    la prime n’est pas exonérée de l’impôt sur le revenu, de la  CSG  et de la  CRDS .

                    Demande de permis d’aménager

                    Qu’est-ce que la prime de partage de la valeur (PPV) anciennement appelée “prime Macron” ?

                    Partage de la valeur : obligation de négocier au 1er janvier 2025 – 30 décembre 2024

                    À compter du 1er janvier 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés devront choisir un dispositif de partage de la valeur parmi les trois suivants :

                    • Mise en place d’un plan de participation ou d’intéressement

                    • Versement d’une prime de partage de la valeur (PPV)

                    • Abondement à un plan d’épargne salariale (PEE, PEI, Perco ou Pereco).

                    Cette page est en cours de mise à jour.

                    La prime de partage de la valeur (PPV), anciennement appelée prime Macron ou prime de pouvoir d’achat , est un dispositif qui permet à l’employeur de verser au salarié une prime. Il s’agit d’un dispositif pérenne que les entreprises peuvent mettre en place chaque année. La prime reste facultative. Son versement dépend d’une décision prise par l’employeur ou d’un accord d’entreprise. Les conditions d’obtention et d’exonération fiscale de cette prime varient selon la date de son versement.

                      Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou agents sont :

                      • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

                      • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

                      • Établissements et services d’aide par le travail (Ésat)

                      La prime peut être versée aux :

                      • Salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

                      • Agents publics relevant d’un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

                      • Intérimaires

                      • Travailleurs handicapés liés à un Ésat

                      La prime est versée selon les conditions suivantes :

                      • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l’entreprise.

                      • Si la prime n’est versée qu’à une partie des salariés de l’entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l’employeur ou un accord d’entreprise en seront exclus.

                      • La prime doit être versée entre le 1er juillet 2022 et 31 décembre 2023. Elle peut faire l’objet d’une avance, mais le solde doit être payé au plus tard à cette date.

                      • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d’un versement par trimestre.

                      L’employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

                      Le montant de la prime est fixé par l’employeur.

                      Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

                      Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l’ancienneté dans l’entreprise, de la durée de présence effective pendant l’année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

                      Les conditions d’exonération dépendent du montant de la rémunération du salarié au cours des 12 mois précédant le versement de la prime :

                      La prime est exonérée de l’impôt sur le revenu, des cotisations salariales et des contributions sociales y compris de la  CSG  et de la  CRDS , dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

                      La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

                      Exemple

                      si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

                        La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € par an et par bénéficiaire.

                        La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

                        Exemple

                        si la prime est versée le 1er août 2022, la rémunération prise en compte est celle perçue sur la période du 1er août 2021 au 31 juillet 2022.

                        À noter

                        la prime n’est pas exonérée d’impôt sur le revenu, de la  CSG  et de la  CRDS .

                          Attention

                          en cas de cumul de la prime de partage de la valeur avec la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (PEPA) qui a pu être versée jusqu’au 31 mars 2022, le montant total exonéré d’impôt sur le revenu au titre des revenus de l’année 2022 ne peut pas excéder 6 000 € .

                          Les employeurs qui peuvent décider de verser une prime de partage de la valeur à leurs salariés ou leurs agents sont :

                          • Employeurs de droit privé y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales)

                          • Établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) et établissements publics administratifs (EPA)

                          • Établissements et services d’aide par le travail (Ésat)

                          La prime peut être versée aux :

                          • Salariés liés à l’entreprise par un contrat de travail (en CDI, en CDD, à temps plein ou à temps partiel)

                          • Agents publics relevant d’un établissement public administratif ou industriel et commercial (EPIC et EPA)

                          • Intérimaires

                          • Travailleurs handicapés liés à un Ésat

                          La prime est versée selon les conditions suivantes :

                          • La prime ne peut pas remplacer une augmentation de rémunération prévue par un accord salarial dans l’entreprise.

                          • Si la prime n’est versée qu’à une partie des salariés de l’entreprise, ceux dont la rémunération est supérieure à un plafond fixé par l’employeur ou un accord d’entreprise en seront exclus.

                          • La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d’un versement par trimestre.

                          L’employeur est libre de verser ou non une prime aux salariés.

                          Le montant de la prime est fixé par l’employeur.

                          Le montant de la prime de partage peut être le même montant pour tous les salariés.

                          Le montant peut aussi être modulé selon les bénéficiaires en fonction de la rémunération, du niveau de classification, de l’ancienneté dans l’entreprise, de la durée de présence effective pendant l’année écoulée ou de la durée de travail prévue par le contrat de travail.

                          La prime est exonérée des cotisations salariales et des contributions sociales, dans la limite de 3 000 € .

                          La prime est exonérée, dans les mêmes conditions, dans la limite de 6 000 € si l’employeur met en place, à la date du versement de la prime, ou a conclu l’année du versement de cette prime :

                          À noter

                          la prime n’est pas exonérée de l’impôt sur le revenu, de la  CSG  et de la  CRDS .

                          EN LIGNE

                          Toute personne peut consulter gratuitement les plans cadastraux en ligne sur le site mis en place par le ministère de l’économie et des finances https://www.cadastre.gouv.fr.
                          il suffit ensuite de sélectionner le département, la commune, l’adresse ou la référence cadastrale.
                          Il est également possible de se faire délivrer des documents sous forme numérique ou par courrier contre le paiement d’une redevance. Cette action nécessite l’ouverture d’un compte avec un identifiant et un mot de passe.

                          GEOPORTAIL

                          Le Géoportail, portail national de la connaissance du territoire mis en œuvre par l’IGN, a pour vocation de faciliter l’accès à l’information géographique de référence. Construit dans une logique d’ouverture et d’interopérabilité des données, il s’est régulièrement enrichi de nouvelles données publiques. https://www.geoportail.gouv.fr/