Urbanisme

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Demande de certificat d’urbanisme

Autorité parentale en cas de séparation des parents

Vous avez un enfant commun et vous vous séparez. Vous voulez savoir qui exerce l’autorité parentale ? Quels sont vos droits et vos obligations à l’égard de l’enfant et de l’autre parent ? Vous voulez savoir comment agir en cas de difficulté ? Nous vous expliquons la procédure.

    Les 2 parents en commun.

    Quand un enfant est reconnu par un seul parent, celui-ci exerce seul l’autorité parentale.

    Même si vous ne vivez plus ensemble (divorce, fin du concubinage, dissolution du Pacs), vous continuez à avoir des droits et des devoirs envers votre enfant.

    Votre séparation avec l’autre parent est sans incidence sur l’exercice de l’autorité parentale.

    Chacun des parents doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent.

    Chacun des parent a les mêmes droits et les mêmes obligations à l’égard de l’enfant.

    Malgré votre séparation, vous devez communiquer entre vous et prendre ensemble des décisions concernant votre enfant.

    Vous devez décider ensemble du lien d’habitation de votre enfant, des modalités d’exercice du droit de visite et/ou d’hébergement, du versement d’une pension alimentaire, etc.

    Au cours de la vie de l’enfant, vous devez prendre des décisions concernant sa santé, son éducation, sa scolarité, son nom, ses choix religieux, un déménagement, etc.

    Vous pouvez prendre seul les décisions de suivi médical, des soins courants ou les actes urgents pour la santé de l’enfant. Les autres actes médicaux doivent recueillir l’accord des 2 parents.

    Les actes usuels (inscription ou radiation de l’enfant dans une école, visite médicale, autorisation de sortie scolaire…) ne nécessite pas l’accord de l’autre parent. Vous devez toutefois l’informer ou en être informé par tous moyens (courrier, appel téléphonique, courriel…).

    Cette information permet au parent qui s’y oppose d’agir éventuellement en justice.

    En cas de désaccord, ce parent peut saisir le juge aux affaires familiales du lieu de résidence de l’enfant.

    À savoir

    Pendant les week-ends et les vacances, vous choisissez librement le lieu d’hébergement (chez vous, à l’hôtel, chez des membres de votre famille…). Vous pouvez aussi partir à l’étranger. Il est utile de prévenir l’autre parent du lieu où se trouve l’enfant. En cas d’urgence, cela permet à l’autre parent de venir chercher l’enfant sur le lieu de vacances (par exemple, si vous êtes hospitalisé après un accident).

    Vous pouvez de même choisir les activités de votre enfant (par exemple : l’inscrire dans un centre aéré, en colonie de vacances, à un stage sportif ou linguistique).

    Parfois, un des parents ne respecte pas votre lien avec l’enfant ou prend, sans vous concerter, des décisions importantes auxquelles vous vous opposez. Par exemple, il décide seul de faire tatouer l’enfant sans vous en avoir parlé.

    Vous pouvez contester cette décision si elle ne respecte pas les intérêts de l’enfant ou si elle risque d’avoir des conséquences défavorables. Vous devez informer l’autre parent de votre désaccord par tous moyens.

    Si le parent maintient sa décision, vous pouvez saisir un médiateur familial ou le  Jaf .

    Vous pouvez également saisir un médiateur familial ou le  Jaf , toutes les fois où vous avez des difficultés avec l’autre parent pour l’exercice de l’autorité parentale. Par exemple en cas de non-respect de votre droit de visite et/ou d’hébergement, etc.

    L’intervention d’un médiateur familial peut vous aider à rétablir la communication et à résoudre le conflit avec l’autre parent. Les 2 parents doivent être d’accord sur le principe de la médiation et y participer.

    Le médiateur familial peut vous expliquer comment s’exerce conjointement l’autorité parentale, comment communiquer entre vous dans l’intérêt de l’enfant.

    La liste des médiateurs familiaux est fournie par le tribunal judiciaire dont dépend le domicile de l’enfant. La  Caf  peut aussi vous donner cette liste.

    À savoir

    La médiation familiale n’est pas possible si des violences ont été commises au sein du couple ou sur l’enfant.

      Quand l’intérêt de l’enfant n’est pas préservé, le juge peut confier l’exercice de l’autorité parentale à l’autre parent. C’est par exemple le cas si le parent se désintéresse de l’enfant ou s’il fait obstacle à l’exercice de l’autorité parentale de l’autre parent ou dans les prises de décision concernant l’enfant.

      Ce parent ne prend plus les décisions relatives à l’enfant. C’est le parent qui se voir confié seul l’autorité parentale qui prend seul les décisions.

      Quand une pension alimentaire a été fixée, le parent débiteur doit continuer à la verser.

      À savoir

      En cas de défaillance grave, un parent peut même se voir retirer l’autorité parentale.

    Explications spécifiques à Solenzara

    Demande de permis de construire pour une maison individuelle et/ou ses annexes (PCMI)

    Demande de permis de construire (autre que portant sur une maison individuelle ou ses annexes)

    Autorité parentale en cas de séparation des parents

    Vous avez un enfant commun et vous vous séparez. Vous voulez savoir qui exerce l’autorité parentale ? Quels sont vos droits et vos obligations à l’égard de l’enfant et de l’autre parent ? Vous voulez savoir comment agir en cas de difficulté ? Nous vous expliquons la procédure.

      Les 2 parents en commun.

      Quand un enfant est reconnu par un seul parent, celui-ci exerce seul l’autorité parentale.

      Même si vous ne vivez plus ensemble (divorce, fin du concubinage, dissolution du Pacs), vous continuez à avoir des droits et des devoirs envers votre enfant.

      Votre séparation avec l’autre parent est sans incidence sur l’exercice de l’autorité parentale.

      Chacun des parents doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent.

      Chacun des parent a les mêmes droits et les mêmes obligations à l’égard de l’enfant.

      Malgré votre séparation, vous devez communiquer entre vous et prendre ensemble des décisions concernant votre enfant.

      Vous devez décider ensemble du lien d’habitation de votre enfant, des modalités d’exercice du droit de visite et/ou d’hébergement, du versement d’une pension alimentaire, etc.

      Au cours de la vie de l’enfant, vous devez prendre des décisions concernant sa santé, son éducation, sa scolarité, son nom, ses choix religieux, un déménagement, etc.

      Vous pouvez prendre seul les décisions de suivi médical, des soins courants ou les actes urgents pour la santé de l’enfant. Les autres actes médicaux doivent recueillir l’accord des 2 parents.

      Les actes usuels (inscription ou radiation de l’enfant dans une école, visite médicale, autorisation de sortie scolaire…) ne nécessite pas l’accord de l’autre parent. Vous devez toutefois l’informer ou en être informé par tous moyens (courrier, appel téléphonique, courriel…).

      Cette information permet au parent qui s’y oppose d’agir éventuellement en justice.

      En cas de désaccord, ce parent peut saisir le juge aux affaires familiales du lieu de résidence de l’enfant.

      À savoir

      Pendant les week-ends et les vacances, vous choisissez librement le lieu d’hébergement (chez vous, à l’hôtel, chez des membres de votre famille…). Vous pouvez aussi partir à l’étranger. Il est utile de prévenir l’autre parent du lieu où se trouve l’enfant. En cas d’urgence, cela permet à l’autre parent de venir chercher l’enfant sur le lieu de vacances (par exemple, si vous êtes hospitalisé après un accident).

      Vous pouvez de même choisir les activités de votre enfant (par exemple : l’inscrire dans un centre aéré, en colonie de vacances, à un stage sportif ou linguistique).

      Parfois, un des parents ne respecte pas votre lien avec l’enfant ou prend, sans vous concerter, des décisions importantes auxquelles vous vous opposez. Par exemple, il décide seul de faire tatouer l’enfant sans vous en avoir parlé.

      Vous pouvez contester cette décision si elle ne respecte pas les intérêts de l’enfant ou si elle risque d’avoir des conséquences défavorables. Vous devez informer l’autre parent de votre désaccord par tous moyens.

      Si le parent maintient sa décision, vous pouvez saisir un médiateur familial ou le  Jaf .

      Vous pouvez également saisir un médiateur familial ou le  Jaf , toutes les fois où vous avez des difficultés avec l’autre parent pour l’exercice de l’autorité parentale. Par exemple en cas de non-respect de votre droit de visite et/ou d’hébergement, etc.

      L’intervention d’un médiateur familial peut vous aider à rétablir la communication et à résoudre le conflit avec l’autre parent. Les 2 parents doivent être d’accord sur le principe de la médiation et y participer.

      Le médiateur familial peut vous expliquer comment s’exerce conjointement l’autorité parentale, comment communiquer entre vous dans l’intérêt de l’enfant.

      La liste des médiateurs familiaux est fournie par le tribunal judiciaire dont dépend le domicile de l’enfant. La  Caf  peut aussi vous donner cette liste.

      À savoir

      La médiation familiale n’est pas possible si des violences ont été commises au sein du couple ou sur l’enfant.

        Quand l’intérêt de l’enfant n’est pas préservé, le juge peut confier l’exercice de l’autorité parentale à l’autre parent. C’est par exemple le cas si le parent se désintéresse de l’enfant ou s’il fait obstacle à l’exercice de l’autorité parentale de l’autre parent ou dans les prises de décision concernant l’enfant.

        Ce parent ne prend plus les décisions relatives à l’enfant. C’est le parent qui se voir confié seul l’autorité parentale qui prend seul les décisions.

        Quand une pension alimentaire a été fixée, le parent débiteur doit continuer à la verser.

        À savoir

        En cas de défaillance grave, un parent peut même se voir retirer l’autorité parentale.

      Déclaration préalable pour une maison individuelle et/ou ses annexes – DPMI

      Déclaration préalable (construction, travaux, installations et aménagements non soumis à permis de construire)

      Déclaration préalable (lotissements et autres divisions foncières non soumis à permis d’aménager)

      Déclaration attestant l’achèvement et la conformité des travaux

      Autorité parentale en cas de séparation des parents

      Vous avez un enfant commun et vous vous séparez. Vous voulez savoir qui exerce l’autorité parentale ? Quels sont vos droits et vos obligations à l’égard de l’enfant et de l’autre parent ? Vous voulez savoir comment agir en cas de difficulté ? Nous vous expliquons la procédure.

        Les 2 parents en commun.

        Quand un enfant est reconnu par un seul parent, celui-ci exerce seul l’autorité parentale.

        Même si vous ne vivez plus ensemble (divorce, fin du concubinage, dissolution du Pacs), vous continuez à avoir des droits et des devoirs envers votre enfant.

        Votre séparation avec l’autre parent est sans incidence sur l’exercice de l’autorité parentale.

        Chacun des parents doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent.

        Chacun des parent a les mêmes droits et les mêmes obligations à l’égard de l’enfant.

        Malgré votre séparation, vous devez communiquer entre vous et prendre ensemble des décisions concernant votre enfant.

        Vous devez décider ensemble du lien d’habitation de votre enfant, des modalités d’exercice du droit de visite et/ou d’hébergement, du versement d’une pension alimentaire, etc.

        Au cours de la vie de l’enfant, vous devez prendre des décisions concernant sa santé, son éducation, sa scolarité, son nom, ses choix religieux, un déménagement, etc.

        Vous pouvez prendre seul les décisions de suivi médical, des soins courants ou les actes urgents pour la santé de l’enfant. Les autres actes médicaux doivent recueillir l’accord des 2 parents.

        Les actes usuels (inscription ou radiation de l’enfant dans une école, visite médicale, autorisation de sortie scolaire…) ne nécessite pas l’accord de l’autre parent. Vous devez toutefois l’informer ou en être informé par tous moyens (courrier, appel téléphonique, courriel…).

        Cette information permet au parent qui s’y oppose d’agir éventuellement en justice.

        En cas de désaccord, ce parent peut saisir le juge aux affaires familiales du lieu de résidence de l’enfant.

        À savoir

        Pendant les week-ends et les vacances, vous choisissez librement le lieu d’hébergement (chez vous, à l’hôtel, chez des membres de votre famille…). Vous pouvez aussi partir à l’étranger. Il est utile de prévenir l’autre parent du lieu où se trouve l’enfant. En cas d’urgence, cela permet à l’autre parent de venir chercher l’enfant sur le lieu de vacances (par exemple, si vous êtes hospitalisé après un accident).

        Vous pouvez de même choisir les activités de votre enfant (par exemple : l’inscrire dans un centre aéré, en colonie de vacances, à un stage sportif ou linguistique).

        Parfois, un des parents ne respecte pas votre lien avec l’enfant ou prend, sans vous concerter, des décisions importantes auxquelles vous vous opposez. Par exemple, il décide seul de faire tatouer l’enfant sans vous en avoir parlé.

        Vous pouvez contester cette décision si elle ne respecte pas les intérêts de l’enfant ou si elle risque d’avoir des conséquences défavorables. Vous devez informer l’autre parent de votre désaccord par tous moyens.

        Si le parent maintient sa décision, vous pouvez saisir un médiateur familial ou le  Jaf .

        Vous pouvez également saisir un médiateur familial ou le  Jaf , toutes les fois où vous avez des difficultés avec l’autre parent pour l’exercice de l’autorité parentale. Par exemple en cas de non-respect de votre droit de visite et/ou d’hébergement, etc.

        L’intervention d’un médiateur familial peut vous aider à rétablir la communication et à résoudre le conflit avec l’autre parent. Les 2 parents doivent être d’accord sur le principe de la médiation et y participer.

        Le médiateur familial peut vous expliquer comment s’exerce conjointement l’autorité parentale, comment communiquer entre vous dans l’intérêt de l’enfant.

        La liste des médiateurs familiaux est fournie par le tribunal judiciaire dont dépend le domicile de l’enfant. La  Caf  peut aussi vous donner cette liste.

        À savoir

        La médiation familiale n’est pas possible si des violences ont été commises au sein du couple ou sur l’enfant.

          Quand l’intérêt de l’enfant n’est pas préservé, le juge peut confier l’exercice de l’autorité parentale à l’autre parent. C’est par exemple le cas si le parent se désintéresse de l’enfant ou s’il fait obstacle à l’exercice de l’autorité parentale de l’autre parent ou dans les prises de décision concernant l’enfant.

          Ce parent ne prend plus les décisions relatives à l’enfant. C’est le parent qui se voir confié seul l’autorité parentale qui prend seul les décisions.

          Quand une pension alimentaire a été fixée, le parent débiteur doit continuer à la verser.

          À savoir

          En cas de défaillance grave, un parent peut même se voir retirer l’autorité parentale.

        Demande de permis d’aménager

        Autorité parentale en cas de séparation des parents

        Vous avez un enfant commun et vous vous séparez. Vous voulez savoir qui exerce l’autorité parentale ? Quels sont vos droits et vos obligations à l’égard de l’enfant et de l’autre parent ? Vous voulez savoir comment agir en cas de difficulté ? Nous vous expliquons la procédure.

          Les 2 parents en commun.

          Quand un enfant est reconnu par un seul parent, celui-ci exerce seul l’autorité parentale.

          Même si vous ne vivez plus ensemble (divorce, fin du concubinage, dissolution du Pacs), vous continuez à avoir des droits et des devoirs envers votre enfant.

          Votre séparation avec l’autre parent est sans incidence sur l’exercice de l’autorité parentale.

          Chacun des parents doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent.

          Chacun des parent a les mêmes droits et les mêmes obligations à l’égard de l’enfant.

          Malgré votre séparation, vous devez communiquer entre vous et prendre ensemble des décisions concernant votre enfant.

          Vous devez décider ensemble du lien d’habitation de votre enfant, des modalités d’exercice du droit de visite et/ou d’hébergement, du versement d’une pension alimentaire, etc.

          Au cours de la vie de l’enfant, vous devez prendre des décisions concernant sa santé, son éducation, sa scolarité, son nom, ses choix religieux, un déménagement, etc.

          Vous pouvez prendre seul les décisions de suivi médical, des soins courants ou les actes urgents pour la santé de l’enfant. Les autres actes médicaux doivent recueillir l’accord des 2 parents.

          Les actes usuels (inscription ou radiation de l’enfant dans une école, visite médicale, autorisation de sortie scolaire…) ne nécessite pas l’accord de l’autre parent. Vous devez toutefois l’informer ou en être informé par tous moyens (courrier, appel téléphonique, courriel…).

          Cette information permet au parent qui s’y oppose d’agir éventuellement en justice.

          En cas de désaccord, ce parent peut saisir le juge aux affaires familiales du lieu de résidence de l’enfant.

          À savoir

          Pendant les week-ends et les vacances, vous choisissez librement le lieu d’hébergement (chez vous, à l’hôtel, chez des membres de votre famille…). Vous pouvez aussi partir à l’étranger. Il est utile de prévenir l’autre parent du lieu où se trouve l’enfant. En cas d’urgence, cela permet à l’autre parent de venir chercher l’enfant sur le lieu de vacances (par exemple, si vous êtes hospitalisé après un accident).

          Vous pouvez de même choisir les activités de votre enfant (par exemple : l’inscrire dans un centre aéré, en colonie de vacances, à un stage sportif ou linguistique).

          Parfois, un des parents ne respecte pas votre lien avec l’enfant ou prend, sans vous concerter, des décisions importantes auxquelles vous vous opposez. Par exemple, il décide seul de faire tatouer l’enfant sans vous en avoir parlé.

          Vous pouvez contester cette décision si elle ne respecte pas les intérêts de l’enfant ou si elle risque d’avoir des conséquences défavorables. Vous devez informer l’autre parent de votre désaccord par tous moyens.

          Si le parent maintient sa décision, vous pouvez saisir un médiateur familial ou le  Jaf .

          Vous pouvez également saisir un médiateur familial ou le  Jaf , toutes les fois où vous avez des difficultés avec l’autre parent pour l’exercice de l’autorité parentale. Par exemple en cas de non-respect de votre droit de visite et/ou d’hébergement, etc.

          L’intervention d’un médiateur familial peut vous aider à rétablir la communication et à résoudre le conflit avec l’autre parent. Les 2 parents doivent être d’accord sur le principe de la médiation et y participer.

          Le médiateur familial peut vous expliquer comment s’exerce conjointement l’autorité parentale, comment communiquer entre vous dans l’intérêt de l’enfant.

          La liste des médiateurs familiaux est fournie par le tribunal judiciaire dont dépend le domicile de l’enfant. La  Caf  peut aussi vous donner cette liste.

          À savoir

          La médiation familiale n’est pas possible si des violences ont été commises au sein du couple ou sur l’enfant.

            Quand l’intérêt de l’enfant n’est pas préservé, le juge peut confier l’exercice de l’autorité parentale à l’autre parent. C’est par exemple le cas si le parent se désintéresse de l’enfant ou s’il fait obstacle à l’exercice de l’autorité parentale de l’autre parent ou dans les prises de décision concernant l’enfant.

            Ce parent ne prend plus les décisions relatives à l’enfant. C’est le parent qui se voir confié seul l’autorité parentale qui prend seul les décisions.

            Quand une pension alimentaire a été fixée, le parent débiteur doit continuer à la verser.

            À savoir

            En cas de défaillance grave, un parent peut même se voir retirer l’autorité parentale.

          EN LIGNE

          Toute personne peut consulter gratuitement les plans cadastraux en ligne sur le site mis en place par le ministère de l’économie et des finances https://www.cadastre.gouv.fr.
          il suffit ensuite de sélectionner le département, la commune, l’adresse ou la référence cadastrale.
          Il est également possible de se faire délivrer des documents sous forme numérique ou par courrier contre le paiement d’une redevance. Cette action nécessite l’ouverture d’un compte avec un identifiant et un mot de passe.

          GEOPORTAIL

          Le Géoportail, portail national de la connaissance du territoire mis en œuvre par l’IGN, a pour vocation de faciliter l’accès à l’information géographique de référence. Construit dans une logique d’ouverture et d’interopérabilité des données, il s’est régulièrement enrichi de nouvelles données publiques. https://www.geoportail.gouv.fr/